La première invitation à Noël n’a pas été envoyée aux rois,
ni aux religieux,
ni aux puissants.
Elle a été envoyée aux bergers.
Des hommes ordinaires.
Fatigués.
Souvent invisibles.
Considérés comme peu fiables, peu instruits, peu “fréquentables”.
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La Bible dit qu’ils étaient dans les champs, la nuit.
Pas au temple. Pas au bon endroit. Pas à la bonne heure.
Comme nous quand :
• on est à l’écart,
• on vit une saison sombre,
• on a l’impression d’être dépassé par la vie.
Mais écoute bien :
La nuit des bergers est devenue le théâtre de la gloire de Dieu.
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Ils n’ont pas essayé de se rendre “présentables”.
Ils sont venus tels qu’ils étaient, avec l’odeur des brebis, la fatigue, la rudesse de leur quotidien.
Et Dieu ne leur a pas dit :
“Changez d’abord, puis venez.”
Il leur a dit :
“Venez voir.”
et qu’on ose venir à Jésus sans filtre.
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L’ange parle.
Le message est fou.
Un Sauveur… dans une mangeoire ?
Et pourtant :
“Ils y allèrent en hâte.”
Pas de débat.
Pas de conditions.
Pas de plan B.
avant d’avoir toutes les réponses.
Dieu révèle souvent la suite en marchant, pas en attendant.
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Ils arrivent anonymes.
Ils repartent témoins.
La Bible dit qu’ils racontaient ce qu’ils avaient vu.
Les mêmes qu’on n’écoutait jamais deviennent des messagers.
tu ne repars peut-être pas avec plus de statut,
mais tu repars avec une histoire à raconter.
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Dieu n’a pas choisi les bergers parce qu’ils étaient parfaits.
Il les a choisis parce qu’ils étaient disponibles.
Et si Noël nous touche autant,
c’est parce que nous sommes les bergers de cette histoire.
Fatigués, imparfaits, parfois à l’écart…
mais invités.
Publié ce 25 décembre 2025 sur le mur FB du groupe de pop louange « Glorious »